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Le Chèque Fossile : Combien la Dépendance Énergétique Coûte-t-elle Réellement au Budget de Chaque Famille Marocaine ?

La Dépendance Fossile : une fuite de capitaux chronique. La non-transition est un sabotage du budget national et des ménages.

L’Illusion Verte : Le Coût Caché de la Dépendance Fossile au Maroc

Le Maroc, pionnier salué sur la scène des énergies renouvelables en Afrique, a longtemps cultivé une image d’avant-gardiste, affichant des ambitions écologiques fortes et des projets solaires et éoliens pharaoniques. Cette « vitrine verte », érigée avec fierté, suggère une trajectoire rapide et sans entrave vers une indépendance énergétique salutaire, isolant le pays des aléas des marchés mondiaux. Mais cette narrative, si elle est inspirante, occulte une réalité plus complexe et plus coûteuse : celle d’une profonde dépendance fossile Maroc dont le fardeau économique et stratégique continue de peser lourdement. La véritable révélation n’est pas l’absence de vision ou de législation, mais bien le coût exorbitant de l’inertie dans leur pleine mise en œuvre.

L’Ambition Verte du Maroc : Un Façade Scintillante ou une Réalité Fragile?

Le Royaume a indéniablement marqué des points dans sa transition énergétique Maroc. Avec une capacité installée en énergies renouvelables qui représente aujourd’hui 40,7% de son total, le pays s’aligne sur les ambitions du Nouveau Modèle de Développement Maroc (NMD) et les objectifs de développement durable. Les discours officiels et les partenariats internationaux célèbrent cette orientation louable. Pourtant, un examen plus approfondi révèle une première fissure dans cette façade : la production effective d’électricité renouvelable ne représente qu’environ 20,5% de la production électrique totale. Ce décalage significatif entre la capacité installée et la production réelle soulève une question fondamentale : comment le Maroc, malgré son leadership régional affirmé en énergies renouvelables, reste-t-il si profondément exposé aux aléas du marché des énergies fossiles ? Cette disparité est le premier indicateur d’une vulnérabilité sous-jacente, suggérant que la complexité de sa situation énergétique dépasse la simple « vitrine verte » et nécessite une analyse plus critique.

Le Prix de l’Ombre : La Facture Énergétique et le Poids des Subventions Fossiles au Maroc

La dépendance fossile Maroc n’est pas une abstraction ; elle a un prix et ce prix est vertigineux. En 2023, la facture énergétique du pays a atteint environ 122 milliards de dirhams (MMDH), et ce, malgré une baisse de près de 20% par rapport à 2022 due à la réduction des quantités importées et des prix. Ce chiffre est un rappel brutal de l’exposition du Maroc aux caprices des marchés mondiaux. Un simple dollar d’augmentation du prix du baril de pétrole se traduit par une hausse d’environ 1 milliard de dirhams sur la facture énergétique nationale.

Au-delà des importations directes, le coût des subventions fossiles Maroc représente un fardeau colossal pour le budget de l’État. La subvention publique sur le gaz butane en est l’exemple le plus flagrant : chaque bonbonne de 12 kg vendue à 50 dirhams aux consommateurs coûte en réalité au Trésor public plus de 70 dirhams. Cette mécanique, censée protéger le pouvoir d’achat des ménages (qui représentent 85% de la demande domestique), crée une hémorragie budgétaire massive, exacerbée par la volatilité des prix mondiaux de l’énergie Maroc et les fluctuations monétaires, notamment celle du dollar face au dirham.

Ces coûts énergie fossile Maroc ne sont pas de simples chiffres dans un rapport. Ils grèvent directement la capacité de l’État à investir dans d’autres secteurs vitaux comme l’éducation, la santé ou les infrastructures. Ils se traduisent par une consommation énergétique Maroc qui pèse sur l’économie dans son ensemble, fragilisant les entreprises et, indirectement, les ménages. Le lecteur doit ici prendre conscience de l’énorme coût économique de cette situation, perçue comme un drain budgétaire majeur et un facteur d’instabilité persistant, malgré des efforts apparents de réduction.

L’Énigme de l’Autoproduction : Quand les Solutions Législatives Peinent à Éclairer le Maroc

Le paradoxe le plus frappant de cette situation réside dans l’existence de solutions concrètes, mais dont l’implémentation patine. La loi 82-21 sur l’autoproduction électrique décentralisée, notamment photovoltaïque, adoptée en février 2023, est un jalon législatif majeur pour la transition énergétique Maroc. Elle promet de réduire significativement la facture énergétique des ménages et des petites et moyennes entreprises (PME), avec un potentiel de baisse du prix moyen du kilowattheure de 0,9 à 0,6 dirham. Il s’agit d’une opportunité inouïe de réduire les coûts énergie fossile Maroc et de promouvoir un prix énergie renouvelable Maroc plus compétitif.

Pourtant, plus d’un an après son adoption, cette loi attend toujours ses quatre décrets d’application pour être pleinement effective. Le ministère de la Transition énergétique et du Développement durable annonce leur finalisation imminente, mais le retard est manifeste. Le Conseil de la concurrence a même tiré la sonnette d’alarme, mettant en garde contre le sous-emploi de ce levier essentiel.

Dans le même temps, le Projet de Loi de Finances (PLF) 2025 avance des mesures incitatives en rehaussant les taxes intérieures de consommation (TIC) sur les produits fossiles, cherchant à rendre ces énergies plus coûteuses et à favoriser les renouvelables. Une intention louable, mais qui contraste avec la lenteur de l’activation des solutions décentralisées. Pourquoi des mesures aussi prometteuses sont-elles ralenties ? Quels sont les intérêts ou inerties qui freinent ces décrets essentiels, alors même que l’impact prix énergies Maroc continue de peser ? Le lecteur doit ici comprendre que des solutions concrètes et bénéfiques existent, mais sont bloquées par des retards réglementaires, soulignant que le problème n’est pas un manque de vision, mais bien celui de l’exécution.

La Révélation : Le Coût de l’Inertie – La Dépendance Fossile, un Frein Structurel au NMD Maroc

La révélation centrale est là : l’inertie dans l’implémentation de la transition énergétique n’est pas une simple inefficacité administrative ; elle est un coût structurel profond qui sape les objectifs mêmes du Nouveau Modèle de Développement Maroc et la compétitivité du Royaume. La forte dépendance aux importations de pétrole, charbon et gaz, le poids des subventions fossiles Maroc, et le retard dans la libéralisation de l’autoproduction constituent un trio de défis majeurs.

Face à ces obstacles, des opportunités réelles existent, comme l’encouragement fiscal du PLF 2025 et la résilience du secteur des phosphates qui, avec 68 MMDH d’exportations en 2024, apporte une bouffée d’oxygène financier. Cependant, cette inertie crée une charge structurelle. Elle augmente les risques liés aux fluctuations géopolitiques mondiales et aux variations monétaires, affaiblissant la sécurité économique du pays et sa balance commerciale.

Dans quelle mesure le coût de cette dépendance fossile Maroc non résolue compromet-il directement les ambitions de croissance, de résilience et de développement durable du NMD ? En laissant les solutions en attente et en continuant à subventionner des énergies obsolètes, le Maroc se condamne à payer un prix élevé pour chaque jour de retard dans sa transition. Cette dépendance est un problème systémique dont les coûts sont aggravés par le manque d’agilité réglementaire, menaçant la trajectoire de développement durable du Royaume.

Au-Delà de la Facture : Impact sur la Compétitivité et la Souveraineté Économique du Maroc

Les répercussions de cette dépendance fossile Maroc s’étendent bien au-delà des simples lignes budgétaires. Elles touchent la compétitivité industrielle, l’innovation et la souveraineté économique du pays. Des coûts énergie fossile Maroc élevés pénalisent directement les entreprises, notamment les PME, qui pourraient bénéficier d’une autoproduction électrique à un prix réduit, améliorant ainsi leur marge et leur capacité d’investissement. L’incertitude quant à la stabilité des prix de l’énergie rend également le Maroc moins attractif pour les investissements étrangers directs, en particulier ceux orientés vers une économie verte.

Si le secteur des phosphates apporte un contrepoids financier non négligeable par ses exportations, il ne peut à lui seul compenser le poids macroéconomique de la dépendance énergétique. Les stratégies énergétiques Maroc ont des implications profondes sur la compétitivité des exportations marocaines sur les marchés internationaux, où les considérations environnementales et la traçabilité de l’empreinte carbone prennent une importance croissante.

De plus, cette dépendance engendre une vulnérabilité géopolitique. Les décisions de politique étrangère ou les capacités de négociation du pays peuvent être subtilement influencées par le besoin constant d’approvisionnement en énergies fossiles. La sécurité économique et sociale du NMD est intimement liée à la capacité du Maroc à maîtriser son approvisionnement énergétique. Il est crucial de comprendre que les stratégies énergétiques Maroc ont des implications profondes sur la compétitivité internationale du pays, sa résilience économique et sa marge de manœuvre politique, bien au-delà de la simple gestion budgétaire.

L’Urgence d’Agir : Vers une Feuille de Route Concrète pour une Véritable Souveraineté Énergétique

Le temps est un luxe que le Maroc ne peut plus se permettre. La finalisation imminente des décrets d’application de la loi sur l’autoproduction électrique doit cesser d’être une promesse pour devenir une réalité immédiate. Les encouragements fiscaux du PLF 2025, qui ciblent l’investissement privé dans les énergies renouvelables, doivent être amplifiés et accompagnés de mécanismes clairs et rapides pour catalyser la transition.

Pour que la transition énergétique Maroc ne reste pas une ambition théorique, il est impératif d’activer pleinement les opportunités non exploitées de l’autoproduction, qui offre une voie rapide vers la réduction des coûts et l’autonomisation. Une feuille de route concrète est nécessaire, avec des objectifs d’implémentation clairs et des mécanismes de suivi rigoureux.

Quelles sont les priorités absolues pour accélérer l’implémentation de ces stratégies énergétiques Maroc ? Il s’agit de mobiliser pleinement tous les acteurs clés : le Ministère de la Transition énergétique, l’ONEE, le Ministère des Finances, Bank Al-Maghrib, et surtout, le secteur privé. Une action coordonnée et rapide est essentielle pour déverrouiller le potentiel latent de la transition énergétique. C’est en agissant de manière décisive que le Maroc transformera cette vulnérabilité en une force, faisant de la souveraineté énergétique un pilier essentiel de son développement durable.

Conclusion

La dépendance fossile Maroc impose un fardeau économique et stratégique d’une ampleur souvent sous-estimée. Malgré des ambitions écologiques louables et un cadre législatif progressiste, l’inertie dans la mise en œuvre de solutions clés, comme l’autoproduction électrique, révèle un coût caché considérable. Ce n’est pas seulement une question de factures d’importation, mais une entrave structurelle à la compétitivité, à la souveraineté économique et aux objectifs ambitieux du Nouveau Modèle de Développement Maroc. Pour le Maroc, la véritable souveraineté passera par la concrétisation rapide et audacieuse de sa transition énergétique. C’est en faisant preuve d’une agilité et d’une détermination sans faille que le Royaume pourra passer de l’illusion verte à une prospérité durable, fondée sur une énergie propre et maîtrisée.

Le temps est venu de transformer cette vulnérabilité en une opportunité audacieuse. Laisser la loi 82-21 dans l’attente de décrets est un luxe que le Maroc ne peut plus se permettre. Exigeons une action immédiate pour libérer le potentiel de l’autoproduction et accélérer la véritable transition énergétique du pays.

Décrypter les Implications : Vos Questions, Nos Réponses pour le Maroc

Q1 : Pourquoi la capacité installée en énergies renouvelables est-elle si élevée (40,7%) tandis que la production réelle est nettement inférieure (20,5%) ?

R1 : Cette différence s’explique par plusieurs facteurs. D’une part, les énergies renouvelables comme le solaire et l’éolien sont intermittentes ; elles ne produisent pas en continu (le soleil la nuit, le vent par temps calme). D’autre part, des défis d’intégration au réseau électrique national, des retards dans les infrastructures de stockage ou de transport, et potentiellement une sous-utilisation de certaines capacités installées peuvent également contribuer à ce décalage. Il est crucial d’optimiser l’intégration et la flexibilité du réseau pour maximiser la production des sources renouvelables.

Q2 : Quels sont les risques concrets si le Maroc ne parvient pas à accélérer la mise en œuvre des décrets pour l’autoproduction électrique ?

R2 : Les risques sont multiples. Sur le plan économique, les entreprises et les ménages continueront de subir les coûts énergie fossile Maroc élevés et la volatilité des prix. Cela nuit à la compétitivité, freine l’investissement et réduit le pouvoir d’achat. Sur le plan environnemental, la dépendance aux fossiles se maintient, augmentant l’empreinte carbone du pays. Stratégiquement, cela maintient une vulnérabilité aux chocs géopolitiques et aux fluctuations du dollar, sapant les objectifs de souveraineté énergétique et de résilience fixés par le Nouveau Modèle de Développement Maroc.

Q3 : Le PLF 2025 propose d’augmenter les taxes sur les produits fossiles. Est-ce suffisant pour inciter à la transition, sans les décrets sur l’autoproduction ?

R3 : L’augmentation des taxes via le PLF 2025 est une mesure incitative essentielle qui rend l’usage des énergies fossiles plus coûteux, orientant les acteurs vers les alternatives vertes. Cependant, sans les décrets d’application de la loi sur l’autoproduction électrique Maroc, le mécanisme incitatif n’est que partiellement efficace. Les entreprises et les ménages désireux de s’orienter vers les énergies renouvelables n’ont pas encore tous les outils légaux et pratiques pour le faire facilement. L’effet de ces taxes serait démultiplié si des solutions alternatives comme l’autoproduction étaient pleinement activées, offrant une sortie concrète et plus économique des énergies fossiles.

Q4 : Quel rôle le secteur des phosphates joue-t-il dans la résilience économique du Maroc face à cette dépendance énergétique ?

R4 : Le secteur des phosphates, avec ses importantes recettes d’exportation (68 MMDH en 2024), joue un rôle crucial de bouffée d’oxygène financière pour le Maroc. Ces revenus aident à compenser, au moins partiellement, l’énorme facture des importations d’énergies fossiles. Il contribue à stabiliser la balance commerciale du pays et à financer d’autres secteurs économiques. Cependant, même si ce secteur est un moteur économique puissant, il ne peut à lui seul résoudre le problème structurel de la dépendance énergétique. Il souligne plutôt l’importance de diversifier davantage les sources de revenus et de réduire les coûts liés à la consommation énergétique Maroc.

Les Révélations Clés en un Coup d’Œil

  • Coût Caché Massif : La dépendance fossile Maroc coûte au Royaume des dizaines de milliards de dirhams annuellement, sapant le budget de l’État et pesant sur l’économie nationale, aggravé par la volatilité des prix et la fluctuation du dollar.
  • Paradoxe de l’Ambiance Verte : Malgré une capacité installée élevée en énergies renouvelables (40,7%), la production réelle reste faible (20,5%), révélant un décalage inquiétant entre l’ambition et l’efficacité de la transition énergétique Maroc.
  • Solutions en Stase Réglementaire : La loi sur l’autoproduction électrique (82-21), une opportunité majeure pour réduire les coûts énergie fossile Maroc, est freinée par l’absence de décrets d’application, bloquant une solution concrète pour un prix énergie renouvelable Maroc plus accessible.
  • Inertie, Frein Structurel : La lenteur de la mise en œuvre de la transition énergétique n’est pas une simple inefficacité ; elle représente un coût structurel majeur qui compromet directement les objectifs de croissance, de résilience et de développement durable du Nouveau Modèle de Développement Maroc.
  • Impact Global : Les stratégies énergétiques Maroc ont des ramifications profondes sur la compétitivité internationale du pays, l’attractivité des investissements, et sa souveraineté économique et géopolitique, bien au-delà de la seule facture énergétique.

Références

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(8) [PDF] Note de Conjoncture ; 2025-03-24 ; 2025-03-26

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(9) Le PLF 2025 vise une accélération de la transition énergétique ; 2024-12-04 ; 2025-10-05

https://maroc-diplomatique.net/le-plf-2025-vise-une-acceleration-de-la-transition-energetique/

(10) L’économie marocaine entre défis et opportunités – PwC au Maroc ; 2023-05-02 ; 2025-10-16

https://pwcmaroc.pwc.fr/fr/publications-communique-de-presse/l-economie-marocaine-entre-defis-et-opportunites.html

(11) Budget, balance commerciale : les risques d’un dollar fort en 2025 ; 2025-01-03 ; 2025-10-08

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(12) [PDF] du Conseil de la concurrence ; 2024-03-28 ; 2025-10-13

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https://combind.ma/blog/loi-de-finance-2025-maroc

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https://www.placedesenergies.com/professionnels/actualites/prediction-des-prix-de-l-energie-un-partenariat-prometteur-entre-zhongnan-et-le-maroc

(15) Budget 2025 : Des mesures douanières pour soutenir la production … ; 2024-12-27 ; 2025-09-21

https://boursenews.ma/article/actualite/mesures-douanieres-electricite

(16) Évolutions des règlementations de l’énergie en 2025 : calendrier ; 2025-07-09 ; 2025-10-15

https://capitole-energie.com/2025/07/09/evolution-reglementation-energie/

(17) La facture va-t-elle augmenter à cause de l’accise sur l’électricité ? ; 2025-04-02 ; 2025-10-10

https://www.moncourtierenergie.com/fr/notre-expertise/actualites-et-infos-energie/accise-electricite-facture-augmentation-2025

Auteurs/autrices

  • Mohammed Benahmed : Ingénierie, stratégie et vision pour le Maroc de demain, en alignement avec le Nouveau Modèle de Développement

    Mohammed Benahmed s'illustre comme un expert émérite incarnant l'alliance de l'ingénierie rigoureuse, du management visionnaire et de la finance stratégique, avec un parcours témoignant d'une quête constante d'excellence au service de l’émergence du Maroc. Son expertise s'est forgée sur le terrain dans des chantiers d'infrastructures hydrauliques et maritimes d'envergure, essentiels au Capital Productif et Technologique du pays. Au Fonds d'Équipement Communal (FEC), la banque marocaine du développement local, il a piloté le financement et l'assistance technique des communes et des régions, consolidant une connaissance intime des défis de développement territorial durable et contribuant directement à la réalisation des ambitions du Nouveau Modèle de Développement (NMD) en matière d'équité territoriale et de Capital Social et Institutionnel.

    Salué pour son expertise en recherche et innovation, son parcours a été couronné par le prestigieux Prix de l'Économiste en économie, gestion et droit (1e édition en 2005), soulignant son excellence dans ces domaines. Cette distinction atteste de sa capacité à décrypter les enjeux socio-économiques avec une rigueur scientifique et une vision systémique, qualités qu'il met aujourd'hui au service des stratégies et des politiques publiques. Visionnaire, Mohammed Benahmed déploie son expertise comme dirigeant d’un cabinet de conseil de premier plan (CBN Développement), spécialisé dans l'accompagnement stratégique des organisations gouvernementales et privées. Il impulse également des dynamiques d'innovation en tant que co-fondateur-président de l'Alliance Maroc Innovation et Émergence, avec la conviction que le progrès se construit par une vision éclairée et une action déterminée, s'inscrivant pleinement dans le renforcement du Capital Humain et du Capital Productif & Technologique du Maroc, tel que prôné par le NMD. 

    Son engagement pour un Maroc souverain se traduit par une volonté d'éclairer les décisions stratégiques, d'identifier les leviers d'une croissance inclusive et de promouvoir une gouvernance transparente au service du bien commun. Ces objectifs sont au cœur des orientations du Nouveau Modèle de Développement, visant à consolider la souveraineté nationale et à assurer un développement pérenne pour le Maroc. M. Mohammed Benahmed est diplômé de l’École Mohammadia d’Ingénieurs de Rabat en génie civil/hydraulique. Il détient également un diplôme de 3ème Cycle en management des organisations de l’Institut Supérieur de Commerce et d'Administration des Entreprises de Casablanca (ISCAE) et une maîtrise en ingénierie mathématique de l'Université de Metz, France.

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  • Le Dr. Merzak, Président Fondateur de l'« Institut Territorium » à Ottawa-Ontario, est un leader visionnaire et un stratège reconnu en matière d'innovation, de transfert technologique et de recherche pour le développement (R4D). Fort de son expérience de chercheur scientifique, le Dr. Merzak se dédie à la co-création de systèmes d'innovation sociotechnique territoriaux, essentielles pour l'autonomisation des communautés et l'atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD) ainsi que des cibles de neutralité carbone de l'Accord de Paris.

    Son approche, profondément enracinée dans le pragmatisme et la prospective, l'a conduit à pionnier des plateformes en ligne qui favorisent l'apprentissage social et la co-création de feuilles de route durables à travers la planification de scénarios communautaires. Parmi ses créations phares figurent geoscenarios.world, une plateforme dédiée à démystifier les événements mondiaux et explorer les scénarios futurs ; gotit.network (Global Open Territorial Innovation & Technology), visant à mobiliser l'intelligence collective pour la co-création de connaissances ODD ; et sustainopia.world, qui valorise l'influence de l'action individuelle et citoyenne dans la construction d'un avenir durable. Le Dr. Merzak défend avec ferveur l'idée que l'intelligence collective, la connaissance tacite et la pensée systémique sont les leviers indispensables pour co-concevoir des avenirs plus prometteurs, du local au national, avec une attention particulière aux défis et opportunités du Maroc.

    Son engagement se manifeste également par des réalisations majeures : il a catalysé des partenariats internationaux, fondé le Forum International de l'e-Gouvernement à Dubaï et le Forum International des Collectivités Locales au Maroc, et promu des projets numériques et durables à l'échelle mondiale. Avec une expérience managériale au sein d'une firme de biotechnologie française et des rôles de conseil dans ce domaine, le Dr. Merzak a également orchestré des événements B2B d'envergure mondiale dans des secteurs variés. Sur le plan académique, il a servi des institutions prestigieuses comme l'Université Paris-Saclay et le King's College London. Récipiendaire de nombreuses distinctions, le Dr. Merzak a largement contribué à la littérature scientifique et est titulaire d'un Doctorat en biologie moléculaire et cellulaire du cancer de l'Université Paris-Diderot, en plus d'autres titres universitaires significatifs.

    Le Dr Merzak a contribué à la conception de MASA (Maroc Scenarios Strategic Analyst), un agent d'intelligence artificielle analytique dédiée à l’étude des dynamiques du développement marocain. Il soutient la plateforme marocscenarios.world dans son effort de recherche et de diffusion des connaissances, en lien avec le Nouveau Modèle de Développement (NMD) et le cadre des Cinq Capitaux Stratégiques.

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