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L’Arnaque du Diplôme : Le Maroc Finance des Étudiants Inemployables ! Le Coût Stratégique du « Skills Mismatch ».

L'Illusion du Diplôme" : Pourquoi 60% des jeunes chômeurs sont des diplômés.

Introduction : L’Énigme du Chômage Diplômé au Maroc – Une Illusion Tenace ?

Le Maroc, à l’aube d’une transformation profonde incarnée par son Nouveau Modèle de Développement, se heurte à un paradoxe déconcertant. Aée après aée, des milliers de jeunes, fiers de leurs parchemins, rejoignent les rangs des diplômés chômeurs Maroc. La crise des diplômés Maroc est une réalité palpable, visible dans les statistiques et ressentie dans les foyers. On nous dit souvent que le pays manque de postes, que l’économie ne croît pas assez vite pour absorber cette jeunesse éduquée. Mais si cette explication n’était qu’une partie de la vérité, masquant une dynamique bien plus insidieuse ?

Et si le problème ne résidait pas tant dans un déficit d’emplois que dans une inadéquation criante entre ce que notre système éducatif produit et ce que le marché du travail recherche désespérément ? C’est l’essence du « skills mismatch Maroc », un fossé grandissant entre les compétences acquises et les besoins réels de l’économie. Cette analyse audacieuse remettra en question l’idée reçue que le diplôme est le seul passeport pour l’emploi, révélant qu’il peut devenir une illusion coûteuse si les compétences qu’il est censé attester sont obsolètes ou inappropriées.

Plongeons au cœur de cette énigme pour déconstruire le mythe et éclairer les véritables enjeux qui pèsent sur l’emploi jeunes Maroc et l’avenir de son Capital humain Maroc.

Le Paradoxe Marocain : Une Génération Éduquée, Des Millions de Chômeurs Qualifiés ?

Les chiffres sont éloquents et interpellent. Au T2-2025, le taux de chômage national se stabilise autour de 12,8 %, un chiffre déjà préoccupant. Mais c’est en regardant les segments les plus vulnérables que l’ampleur du défi apparaît : le taux de chômage des jeunes (15-24 ans) grimpe à 35,8 %. Plus alarmant encore, près de 19 % des diplômés se retrouvent sans emploi au même trimestre, une légère baisse auelle qui ne masque pas la gravité structurelle du phénomène. Avec 1,63 million de chômeurs recensés au T1-2025, dont une proportion significative de jeunes instruits, la question s’impose avec acuité : comment un pays peut-il investir massivement dans la formation de sa jeunesse et produire simultanément une armée de diplômés sans débouchés ?

Ces statistiques, régulièrement publiées par le Haut-Commissariat au Plan (HCP), soulignent une contradiction fondamentale. Le Maroc forme, certes, mais pour quels emplois ? Le problème est-il purement quantitatif, une simple question de nombre de postes, ou une dimension plus complexe est-elle en jeu, impliquant une remise en question de la pertinence même de la formation reçue ? L’ampleur de la crise des diplômés Maroc ne peut plus être ignorée ni expliquée par de simples insuffisances conjoncturelles. Elle nous invite à sonder les profondeurs d’un système où l’éducation, bien qu’essentielle, semble parfois décoectée des réalités socio-économiques.

Quand les Entreprises Cherchent en Vain : Les Premières Fissures du Mythe du Diplôme-Roi

C’est ici que l’illusion commence à se fissurer. Tandis que des milliers de jeunes brandissent leurs diplômes en quête d’un emploi, les entreprises marocaines, elles, se plaignent d’un manque criant de profils qualifiés. Des enquêtes récentes révèlent que 60 % des entreprises déclarent des difficultés à recruter. Ce chiffre est un non-sens apparent : comment est-il possible que des entreprises peinent à trouver des talents dans un pays où le chômage des diplômés est si élevé ?

La réponse réside dans la nature des qualifications recherchées. Le monde a changé. Le Global Skills Survey 2025 de l’ETS a mis en lumière une tendance mondiale incontestable : 90 % des recruteurs privilégient désormais les compétences réelles et mesurables au détriment du simple diplôme. Cette bascule, déjà bien ancrée ailleurs, peine à se matérialiser au Maroc. La valeur du diplôme traditioel est-elle surévaluée par rapport aux besoins concrets du marché ? Il semble que oui.

Les recruteurs ne cherchent plus seulement un papier, mais une capacité à résoudre des problèmes, à s’adapter, à iover. Ils recherchent des compétences marché Maroc spécifiques, souvent techniques, numériques ou transversales (soft skills), qui ne sont pas toujours enseignées ou valorisées de manière adéquate dans le parcours académique classique. Cette situation paradoxale est la première preuve manifeste d’un skills mismatch Maroc, où l’offre et la demande sur le marché de l’emploi ne se rencontrent pas, non par manque de volume, mais par inadéquation qualitative. Le mythe du « diplôme-roi » commence à s’écrouler, révélant la nécessité d’une nouvelle approche.

Au Cœur du Décalage : Pourquoi le ‘Skills Mismatch’ Empêche l’Épanouissement du Capital Humain Marocain

Pour comprendre la crise des diplômés Maroc, il est impératif de plonger au cœur du « skills mismatch ». Ce décalage structurel est alimenté par plusieurs facteurs systémiques. D’abord, il y a la persistance d’une culture de la « survalorisation du diplôme », qui élève le parchemin au rang de fin en soi, plutôt que comme un moyen d’acquérir des compétences tangibles. Cette mentalité décourage la formation professioelle et technique, souvent perçue comme une voie de second choix, alors même qu’elle est source de métiers concrets et demandés.

Ensuite, le système éducatif lui-même peine à s’adapter à la vitesse des mutations économiques. La lenteur des réformes et le manque de synergie entre le secteur public et privé sont des freins majeurs. Les curricula sont souvent figés, ne reflétant pas les besoins émergents de l’industrie, des services ou du numérique. Le résultat est un talent gap Maroc significatif : les entreprises cherchent des compétences que les institutions de formation ne produisent pas, ou pas en quantité suffisante.

La faiblesse de l’orientation professioelle aggrave ce problème, laissant de nombreux jeunes s’engager dans des filières sans réel débouché ou en inadéquation avec leurs aptitudes. Les disparités régionales et de genre amplifient également ce décalage. Des régions comme le Sud ou Casablanca-Settat concentrent des taux de chômage élevés chez les diplômés, tandis que les femmes diplômées affichent un taux d’activité de seulement 44,3 % contre 66,1 % pour les hommes, malgré une parité scolaire souvent exemplaire. Le système actuel ne valorise-t-il pas les mauvaises métriques pour le Capital humain Maroc, en privilégiant la quantité de diplômes plutôt que la qualité et la pertinence des compétences ? C’est une question cruciale à laquelle notre société doit faire face.

La Vérité Dévoilée : Le Maroc Ne Manque Pas de Diplômés, Mais de Compétences Pertinentes

La révélation centrale est là : le Maroc ne souffre pas d’un manque intrinsèque de diplômés, mais d’une pénurie critique de compétences pertinentes pour les métiers d’aujourd’hui et de demain. La possession d’un diplôme, sans les aptitudes pratiques et les savoir-être requis par le marché, est devenue une illusion. Ce n’est pas un manque d’intelligence ou d’éducation qui handicape notre jeunesse, mais l’inertie d’un système qui forme pour un marché qui n’existe plus, ou qui demande autre chose.

Prenez l’exemple du secteur numérique et de l’intelligence artificielle. Le besoin en data scientists, en ingénieurs IA ou en prompt engineers explose. Ces profils hybrides, « augmentés par l’IA », sont des catalyseurs de croissance. Pourtant, les profils classiques, qu’ils soient littéraires ou même techniques dans des filières saturées, peinent à trouver leur place. Pendant ce temps, les emplois se créent massivement dans les services (216 000), l’industrie (83 000) et le BTP (52 000), alors que l’agriculture perd des milliers de postes. Le paradoxe est cruel : les diplômés chômeurs Maroc ne parvieent pas à combler les besoins des secteurs porteurs.

Le sous-emploi, qui touche 10,6 % des actifs occupés, et l’économie informelle, qui absorbe jusqu’à 40 % de la population active, sont des symptômes directs de cette inadéquation. Ces secteurs, souvent précaires et peu rémunérateurs, devieent des refuges par défaut faute de mieux. Le diplôme, par son inertie, est devenu un filtre inefficace, empêchant l’économie marocaine d’absorber les talents dont elle a besoin pour sa croissance et sa Réforme éducation Maroc. L’heure n’est plus à la simple formation de masse, mais à l’équipement des citoyens de compétences agiles et adaptatives. Sans cette prise de conscience, le Capital humain Maroc restera sous-exploité.

Au-delà du Diplôme : Implications Stratégiques pour le Nouveau Modèle de Développement (NMD)

Cette réalité du « skills mismatch Maroc » n’est pas qu’un simple problème d’emploi ; c’est un frein majeur aux ambitions du Royaume. Le Nouveau Modèle de Développement (NMD) place la réforme du capital humain comme un pilier stratégique, recoaissant son rôle essentiel pour la compétitivité et l’iovation du pays. Or, l’alignement entre les politiques éducatives et les besoins économiques réels reste partiel. Comment le Maroc peut-il espérer réaliser ses objectifs de développement, de prospérité partagée et de renforcement de ses 5 Capitaux Stratégiques si son atout le plus précieux – sa jeunesse éduquée – n’est pas pleinement valorisé ?

Le coût économique et social de cette crise des diplômés Maroc est immense. Il se traduit par une perte de productivité, un gaspillage des ressources investies dans l’éducation, et une frustration sociale palpable. Le sous-emploi et la persistance d’une économie informelle sapent les fondements d’une croissance inclusive, accentuant les inégalités et menaçant la cohésion sociale. Les disparités régionales persistent, avec des territoires à fort potentiel qui peinent à attirer et retenir les compétences, faute d’un écosystème de formation et d’emploi adapté.

Sans une action concertée et radicale, le talent gap Maroc pourrait paralyser les ambitions du NMD. Il est impératif de revoir la valeur que nous accordons au diplôme et de la réaligner avec la valeur des compétences concrètes. C’est une question de souveraineté économique et de résilience nationale. L’avenir du NMD et emploi Maroc dépendra de notre capacité à transformer cette crise en une opportunité de construire un capital humain agile, adaptable et en phase avec les exigences d’une économie mondiale en constante mutation.

Construire le Maroc de Demain : Vers une Économie des Compétences et de l’Apprentissage Continu

Face à l’ampleur du défi, l’urgence de l’action est indiscutable. Pour surmonter le « skills mismatch Maroc », le pays doit opérer une transformation profonde de son écosystème de formation et d’emploi, en plaçant les compétences au cœur de sa stratégie. Cela commence par une Réforme éducation Maroc et une Réforme formation professioelle Maroc qui ne soient plus des vœux pieux, mais des chantiers prioritaires, concrets et agiles.

Plusieurs pistes s’offrent au Royaume. D’abord, la valorisation de la formation continue et des certifications, qui permettent aux individus de s’adapter tout au long de leur carrière. Les micro-certifications, les bootcamps technologiques (comme ceux initiés par Simplon ou YouCode), et les plateformes d’apprentissage en ligne sont des outils puissants pour combler rapidement les lacunes en compétences. Ils offrent des parcours plus courts, plus ciblés et directement liés aux besoins du marché.

Ensuite, une synergie public-privé renforcée est indispensable. Les entreprises, en tant que receveuses finales des talents, doivent être au cœur de l’élaboration des programmes de formation, offrant des stages, des apprentissages, et partageant leurs besoins. L’État, de son côté, doit créer un cadre réglementaire favorable et investir dans des infrastructures de formation modernes et coectées. La mise en place d’un système national de certification des compétences, indépendant du diplôme traditioel, permettrait de recoaître et de valoriser les acquis de l’expérience et des formations non formelles.

Le Maroc doit développer une culture de la compétence et de l’apprentissage tout au long de la vie. Cela signifie encourager la curiosité, l’adaptabilité, la pensée critique et la créativité dès le plus jeune âge. C’est en faisant de ces compétences les pierres angulaires de notre système éducatif et de notre marché du travail que nous pourrons réellement libérer le potentiel de notre Capital humain Maroc. Il est temps de passer du « diplôme-roi » à la « compétence-reine » pour construire une économie plus résiliente, inclusive et iovante, capable de dépasser la crise des diplômés Maroc pour le bien de tous.

Conclusion : Dépasser l’Illusion, Construire l’Avenir par les Compétences

La crise des diplômés Maroc est plus qu’un simple défi statistique ; c’est un symptôme d’une illusion persistante où le diplôme, sans compétences pertinentes, est devenu une promesse creuse. La révélation de ce « skills mismatch Maroc » est cruciale : le Maroc ne manque pas de jeunes éduqués, mais de talents adéquatement préparés aux réalités et aux opportunités de son économie émergente. Cette inadéquation systémique freine le potentiel du Capital humain Maroc et compromet la pleine réalisation des ambitions du Nouveau Modèle de Développement.

Il est impératif que le Maroc opère une transition courageuse, d’une culture de la qualification formelle vers une économie de la compétence et de l’apprentissage continu. C’est en recoaissant et en valorisant les aptitudes réelles, en favorisant une synergie profonde entre l’éducation, la formation professioelle et le monde de l’entreprise, que le Royaume pourra équiper sa jeunesse pour les défis et les opportunités du 21ème siècle. Seule une telle transformation permettra de convertir la crise des diplômés Maroc en un levier puissant pour un développement durable et inclusif.

Agissons collectivement – État, entreprises, institutions de formation et individus – pour déconstruire cette illusion et bâtir un avenir où chaque talent trouve sa place et où chaque compétence contribue pleinement à l’essor de la nation.

Décrypter les Implications : Vos Questions, Nos Réponses pour le Maroc

Q1: Le « skills mismatch » signifie-t-il que les études supérieures sont inutiles au Maroc ?

Non, absolument pas. Les études supérieures restent essentielles pour le développement intellectuel, la pensée critique et l’acquisition de coaissances fondamentales. Cependant, l’article souligne que le diplôme seul, sans l’intégration de compétences pratiques, numériques et transversales adaptées aux besoins du marché, ne garantit plus l’employabilité. Il s’agit de repenser la finalité des études pour qu’elles débouchent sur une réelle maîtrise des compétences marché Maroc.

Q2: Quels sont les secteurs les plus touchés par ce « talent gap » ?

Le « talent gap Maroc » est particulièrement prononcé dans les secteurs en croissance rapide et à forte valeur ajoutée, tels que le numérique, l’intelligence artificielle, l’ingénierie avancée, les énergies renouvelables et certains services spécialisés. Ironiquement, ce sont des secteurs qui recrutent, mais peinent à trouver des profils qualifiés malgré la crise des diplômés Maroc dans d’autres filières.

Q3: Comment les jeunes peuvent-ils s’adapter à cette nouvelle réalité ?

Les jeunes doivent adopter une posture proactive d’apprentissage continu. Cela inclut la recherche de formations complémentaires (bootcamps, certifications en ligne), le développement de soft skills (communication, résolution de problèmes, esprit d’équipe) et l’acquisition d’expériences professioelles (stages, bénévolat, projets persoels). Il est crucial de diversifier ses compétences au-delà du cursus initial pour faire face au « skills mismatch Maroc » et améliorer leur emploi jeunes Maroc.

Q4: Quel rôle joue le Nouveau Modèle de Développement (NMD) dans la résolution de ce problème ?

Le NMD identifie le Capital humain Maroc comme un pilier fondamental. Il préconise des réformes profondes de l’éducation et de la formation professioelle pour mieux les aligner sur les besoins économiques. Pour que le NMD et emploi Maroc soit une réussite, la mise en œuvre de ces réformes est cruciale pour surmonter le « talent gap Maroc » et valoriser pleinement les capacités de la jeunesse marocaine.

Q5: Le secteur informel, qui emploie 40% de la population active, est-il une solution au « skills mismatch » ?

Le secteur informel, bien que pourvoyeur d’emplois, n’est pas une solution durable au « skills mismatch ». Il est souvent caractérisé par des conditions de travail précaires, l’absence de protection sociale et des salaires faibles. Il absorbe une partie des diplômés chômeurs Maroc par défaut, faute d’alternatives formelles, ce qui est un symptôme de l’inadéquation structurelle du marché de l’emploi plutôt qu’une solution.

Les Révélations Clés en un Coup d’Œil

  • La crise des diplômés Maroc n’est pas seulement quantitative mais qualitative : un « skills mismatch Maroc » profond entre l’offre éducative et les besoins du marché.
  • 60 % des entreprises marocaines peinent à recruter des profils qualifiés, un paradoxe criant face au chômage diplômé élevé, attestant d’un talent gap Maroc.
  • Le « diplôme-roi » est une illusion : la valeur accordée au diplôme traditioel est surévaluée par rapport à l’exigence croissante de compétences marché Maroc concrètes.
  • Les réformes éducatives lentes, l’orientation professioelle déficiente et le manque de synergie public-privé perpétuent ce décalage, freinant l’épanouissement du Capital humain Maroc.
  • Le succès du NMD et emploi Maroc dépendra de la capacité du Royaume à opérer une Réforme éducation Maroc profonde, priorisant l’acquisition de compétences agiles et l’apprentissage tout au long de la vie.

Références

(1) Taux de chômage au Maroc | 1999-2025 Doées; 2025-08-04; 2025-10-12

https://fr.tradingeconomics.com/morocco/unemployment-rate

(2) High and Persistent Skilled Unemployment In Morocco: Explaining it …; 2017-11-09; 2025-10-05

https://www.policycenter.ma/publications/high-and-persistent-skilled-unemployment-morocco-explaining-it-skills-mismatch

(3) Le taux de chômage au Maroc recule à 13,3% au premier trimestre …; 2025-05-05; 2025-10-10

https://fnh.ma/article/actualite-economique/hcp-chomage-2024-2025-trimestre

(4) High and Persistent Skilled Unemployment In Morocco – Policy Center; 2017-11-09; 2025-04-03

https://www.policycenter.ma/publications/high-and-persistent-skilled-unemployment-morocco-explaining-it-skills-mismatch?page=1

(5) La situation du marché du travail au premier trimestre de 2025 – HCP; 2025-05-05; 2025-10-15

https://www.hcp.ma/La-situation-du-marche-du-travail-au-premier-trimestre-de-2025_a4097.html

(6) Recrutement : la compétence, nouvel étalon du marché du travail; 2025-08-08; 2025-10-16

https://maroc-diplomatique.net/recrutement-la-competence-nouvel-etalon-du-marche-du-travail/

(7) La situation du marché du travail au deuxième trimestre de 2025; 2025-08-04; 2025-08-04

https://www.hcp.ma/La-situation-du-marche-du-travail-au-deuxieme-trimestre-de-2025_a4163.html

(8) Compétences IA : L’avenir du travail au Maroc – Mindfull; 2025-07-14; 2025-07-14

https://mindfull.ma/competences-ia

https://drh.ma/chomage-sous-emploi-emploi-remunere-ce-que-revele-la-derniere-note-du-hcp-sur-le-marche-du-travail-au-t2-2025/

(9) Chômage, sous-emploi, emploi rémunéré : ce que révèle la dernière …; 2025-08-04;

https://drh.ma/chomage-sous-emploi-emploi-remunere-ce-que-revele-la-derniere-note-du-hcp-sur-le-marche-du-travail-au-t2-2025/

(10) Challenges Facing the Moroccan Labor Market and Ways to …; 2025-04-08; 2025-09-01

https://fesnews.media/303151/2025/04/08/

(11) Maroc: le taux de chômage recule à 12,8% – Infomédiaire; 2025-08-04;

https://www.infomediaire.net/maroc-le-taux-de-chomage-a-128-au-deuxieme-trimestre-2025/

(12) Marché du travail : une reprise en trompe-l’œil ? – Maroc Diplomatique; 2025-08-04; 2025-10-15

https://maroc-diplomatique.net/marche-du-travail-une-reprise-en-trompe-loeil/

(13) [PDF] Toward InclusivE DEvEloPmEnt In Morocco – HCP; ; 2025-10-14

https://www.hcp.ma/file/243615

(14) [PDF] Les enjeux du marché du travail au Maroc – cawtar; ; 2024-04-12

https://www.cawtarclearinghouse.org/storage/AttachementGender/les%20enjeux%20du%20marche%20du%20travail.pdf

(15) Gen Z 212 Earthquake: Youth Shaking Morocco’s Politics; 2025-10-16; 2025-10-16

https://www.arab-reform.net/publication/gen-z-212-earthquake-youth-shaking-moroccos-politics/

Auteurs/autrices

  • Le Dr. Merzak, Président Fondateur de l'« Institut Territorium » à Ottawa-Ontario, est un leader visionnaire et un stratège reconnu en matière d'innovation, de transfert technologique et de recherche pour le développement (R4D). Fort de son expérience de chercheur scientifique, le Dr. Merzak se dédie à la co-création de systèmes d'innovation sociotechnique territoriaux, essentielles pour l'autonomisation des communautés et l'atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD) ainsi que des cibles de neutralité carbone de l'Accord de Paris.

    Son approche, profondément enracinée dans le pragmatisme et la prospective, l'a conduit à pionnier des plateformes en ligne qui favorisent l'apprentissage social et la co-création de feuilles de route durables à travers la planification de scénarios communautaires. Parmi ses créations phares figurent geoscenarios.world, une plateforme dédiée à démystifier les événements mondiaux et explorer les scénarios futurs ; gotit.network (Global Open Territorial Innovation & Technology), visant à mobiliser l'intelligence collective pour la co-création de connaissances ODD ; et sustainopia.world, qui valorise l'influence de l'action individuelle et citoyenne dans la construction d'un avenir durable. Le Dr. Merzak défend avec ferveur l'idée que l'intelligence collective, la connaissance tacite et la pensée systémique sont les leviers indispensables pour co-concevoir des avenirs plus prometteurs, du local au national, avec une attention particulière aux défis et opportunités du Maroc.

    Son engagement se manifeste également par des réalisations majeures : il a catalysé des partenariats internationaux, fondé le Forum International de l'e-Gouvernement à Dubaï et le Forum International des Collectivités Locales au Maroc, et promu des projets numériques et durables à l'échelle mondiale. Avec une expérience managériale au sein d'une firme de biotechnologie française et des rôles de conseil dans ce domaine, le Dr. Merzak a également orchestré des événements B2B d'envergure mondiale dans des secteurs variés. Sur le plan académique, il a servi des institutions prestigieuses comme l'Université Paris-Saclay et le King's College London. Récipiendaire de nombreuses distinctions, le Dr. Merzak a largement contribué à la littérature scientifique et est titulaire d'un Doctorat en biologie moléculaire et cellulaire du cancer de l'Université Paris-Diderot, en plus d'autres titres universitaires significatifs.

    Le Dr Merzak a contribué à la conception de MASA (Maroc Scenarios Strategic Analyst), un agent d'intelligence artificielle analytique dédiée à l’étude des dynamiques du développement marocain. Il soutient la plateforme marocscenarios.world dans son effort de recherche et de diffusion des connaissances, en lien avec le Nouveau Modèle de Développement (NMD) et le cadre des Cinq Capitaux Stratégiques.

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  • Mohammed Benahmed : Ingénierie, stratégie et vision pour le Maroc de demain, en alignement avec le Nouveau Modèle de Développement

    Mohammed Benahmed s'illustre comme un expert émérite incarnant l'alliance de l'ingénierie rigoureuse, du management visionnaire et de la finance stratégique, avec un parcours témoignant d'une quête constante d'excellence au service de l’émergence du Maroc. Son expertise s'est forgée sur le terrain dans des chantiers d'infrastructures hydrauliques et maritimes d'envergure, essentiels au Capital Productif et Technologique du pays. Au Fonds d'Équipement Communal (FEC), la banque marocaine du développement local, il a piloté le financement et l'assistance technique des communes et des régions, consolidant une connaissance intime des défis de développement territorial durable et contribuant directement à la réalisation des ambitions du Nouveau Modèle de Développement (NMD) en matière d'équité territoriale et de Capital Social et Institutionnel.

    Salué pour son expertise en recherche et innovation, son parcours a été couronné par le prestigieux Prix de l'Économiste en économie, gestion et droit (1e édition en 2005), soulignant son excellence dans ces domaines. Cette distinction atteste de sa capacité à décrypter les enjeux socio-économiques avec une rigueur scientifique et une vision systémique, qualités qu'il met aujourd'hui au service des stratégies et des politiques publiques. Visionnaire, Mohammed Benahmed déploie son expertise comme dirigeant d’un cabinet de conseil de premier plan (CBN Développement), spécialisé dans l'accompagnement stratégique des organisations gouvernementales et privées. Il impulse également des dynamiques d'innovation en tant que co-fondateur-président de l'Alliance Maroc Innovation et Émergence, avec la conviction que le progrès se construit par une vision éclairée et une action déterminée, s'inscrivant pleinement dans le renforcement du Capital Humain et du Capital Productif & Technologique du Maroc, tel que prôné par le NMD. 

    Son engagement pour un Maroc souverain se traduit par une volonté d'éclairer les décisions stratégiques, d'identifier les leviers d'une croissance inclusive et de promouvoir une gouvernance transparente au service du bien commun. Ces objectifs sont au cœur des orientations du Nouveau Modèle de Développement, visant à consolider la souveraineté nationale et à assurer un développement pérenne pour le Maroc. M. Mohammed Benahmed est diplômé de l’École Mohammadia d’Ingénieurs de Rabat en génie civil/hydraulique. Il détient également un diplôme de 3ème Cycle en management des organisations de l’Institut Supérieur de Commerce et d'Administration des Entreprises de Casablanca (ISCAE) et une maîtrise en ingénierie mathématique de l'Université de Metz, France.

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